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DROIT DE REPONSE*

* Ce droit de réponse a été envoyée aux publications suivantes: France Info, Web Television Observer, Vosges Matin, Le Républicain Lorrain, Metro News, Le dauphine, Le Huffington Post, L'Alasce, 24 matins, L'Express, Impact European, France Tv Info, Direct Matin, Le bien public, BMF TV, 20 minutes, Courrier des Balkans, France soir, Le parisien et blogs: Wanted pedo et Information secteares

Madame, Monsieur le Directeur de la rédaction,

Dans l'article intitulé L'un des hommes "les plus recherchés d'Europe" arrêté à Paris, paru dans le journal [nom] le [26.02.2016, 27.02.2016 et 28.02.2016], ont été présentées une série de contre-vérités évidentes qui ont sérieusement endommagé l'image de M. Gregorian Bivolaru.

Par conséquent, et en application des dispositions de l'article 13 de la Loi du 29 juillet 1881 sur le droit de la presse, le porte parole du MISA, Costica Cojocaru, entend exercer son droit de réponse et vous demande donc d'insérer dans le prochain numéro de votre journal le texte suivant:

"M. Gregorian Bivolaru, dissident et réfugié politique en Suède, a été arrêté par la police française le 26 Février 2016, à Paris. Son cas a l'attention de plusieurs organisations de défense des droits de l'homme, en raison des abus perpétrés contre lui par les autorités roumaines depuis plus de 30 ans. Cela montre que les autorités roumaines ont gravement et délibérément forgé les informations fournies à Europol pour obtenir par manipulation insidieuse la participation d'Europol à l'arrestation abusive de Gregorian Bivolaru. L'information présentée par votre publication, à savoir que M. Bivolaru serait accusé de pédophilie et de traite des êtres humains est un mensonge terrible propagé insidieusement même par les institutions de l'Etat roumain qui continuent les persécutions furibondes, les abus flagrants et les violations répétées des droits de l'homme dans le cas de Gregorian Bivolaru.

Gregorian Bivolaru a été condamné à 6 ans de prison pour l'infraction d'acte sexuel avec un mineur. Cela dans les conditions où la victime présumée a nié à plusieurs reprises, et elle nie même actuellement, ces allégations et a exposé à son tour ces graves abus auxquels elle a été soumise par les procureurs pour la déterminer par chantage, coups et menaces d'emprisonnement, de signer une déclaration faussement accusatrice, susceptible d'incriminer Gregorian Bivolaru. Cette déclaration arrachée à la victime a été d'ailleurs retirée le lendemain. De plus, bien que Gregorian Bivolaru ait été acquitté par deux tribunaux, de première instance et en appel (étant déclaré innocent), en ce qui concerne cette accusation, la Haute Cour de Cassation et de Justice de Roumanie a annulé ultérieurement, de façon abusive et illégale, les deux décisions d'acquittement. En suivant, par une procédure manifestement illégale, elle a condamné Gregorian Bivolaru à une peine injuste et excessive par rapport à l'infraction pour laquelle il était faussement accusé.

Une importante mise en garde qui doit être mentionnée concerne l'association injuste de l'appellation secte qui crée une stigmatisation de nature à tromper le public sur l'école de yoga MISA qui a été fondée en 1989 par Gregorian Bivolaru. A cet égard, nous considérons comme très important le rapport du chercheur Karl Erik Nylund, l'un des plus célèbres experts européens en matière de sectes, qui a mené depuis 2005 une approche globale, approfondie. Ses conclusions ont révélé que, en réalité, l'école de yoga MISA est un mouvement éminemment spirituel, qui promue une alternative, un mode de vie sain et non pas une secte."

Pour votre édification, nous vous envoyons une copie de ce rapport susceptible de mettre en évidence la réalité des questions mentionnées ci-dessus.

Enfin, nous vous rappelons que IL N'EST JAMAIS LE CAS QU'IL Y AIT D'INFORMATION DE PRESSE SUPERIEURE A LA VERITE.

Par conséquent, au nom de la vérité, qui devrait être un phare guide pour la publication que vous menez, nous osons espérer que vous n'allez pas ignorer la vérité sur ces questions au sujet desquelles vous vous êtes exprimés dans l'article publié et nous vous sollicitons respectueusement l'insertion urgente de ce droit de réponse.

Je vous remercie d'accuser réception du présent e-mail et de confirmer que votre journal fait bien le nécessaire dans le sens demandé. A défaut, je me réserve le droit d'intenter une action en justice contre votre magazine pour diffamation.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur le Directeur de la rédaction, l'expression de mes sentiments distingués.

Costica Cojocaru
Porte parole du MISA
0040726260955

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